Lifestyle

Parlez-moi d’amour #10 du mois

Ces doux mots « Parlez-moi d’amour » en ce mois de février n’est pas anodin, cette Saint-Valentin.

amour
source : daekazu deviantart

Cette chanson résonne dans ma tête, une autre époque, mais le sujet ne vieillit pas.

Je ne vous raconterai pas ma première Saint-Valentin, j’ai fini la lèvre ouverte et la main bien amochée 😀 (pas par mon « Valentin »)

L’amour, vaste sujet. Aucun amour ne se ressemble, aucun n’est comparable.
Il peut être aussi épanouissant que destructeur, être les deux aussi.
Ce sentiment qui prend les tripes, qui fait nous sentir sur un nuage, celui qu’on aimerait rester pour toujours.
Qui nous donne des ailes (sans redbull) et nous fait sourire bêtement. Celui qui nous brise en morceaux, qu’on aimerait éparpiller dans les océans. Et qu’on jure qu’on y reprendra plus.

L’amour, qui nous prend par surprise, nous dévore de l’intérieur, nous fait prendre confiance en soi.
Celui même qui nous fait nous questionner; « suis-je assez bien pour lui-elle? » « combien de temps cela durera? » « est-ce possible qu’il-elle m’aime vraiment? »…

Celui qui est dans les yeux de la personne lorsqu’elle nous regarde et que l’on se sent important-e, aimé-e.

Celui qui fait que l’on souffre secrètement car l’autre personne ne nous aime pas (ahh tendre adolescence et tous ces cœurs brisés). Le même qui fait que d’autres souffrent car nous aimons une autre personne.

Ce sentiment qui nous change, en bien ou en mal. En fait, change t-on réellement ou bien est-ce l’amour qui dévoile notre vrai côté?
Est-ce que l’on change pour plaire? par peur? par envie de possession?

J’ai vu des personnes s’isoler, se « mourir » par « amour », mais était-ce de l’amour réellement? ne plus vivre que pour une personne est-ce être aimé-e? Changer radicalement, ne plus être soi, être perdu-e…
Parfois l’on pense que c’est le fait d’aimer, d’être aimé-e qui fait cela, mais souvent ce n’est pas cela. C’est bien plus fort et c’est un désastre.

L’amour, je pourrai réellement je crois en écrire des lignes à n’en plus finir, à en dégouliner d’amour au final. A m’en mêler les touches du clavier tant j’ai à dire encore et encore.

image pixabay
amour

Parait-il, les rumeurs disent, que lorsque l’on aime quelqu’un on pourrait lire dans ses yeux et y voir son âme. J’ai déjà du mal à voir la mienne, alors celle d’une autre personne, que nenni. Mais qui sait, verre à la main, yeux dans les yeux, y voir danser une luciole dans son regard. Y voir un signe et foncer tête baissée.
Mais avant cela être séduit-e par ses mots, ses rires, sa timidité, ses passions, ses envies. Avoir envie de plus encore et chaque jour qui passe. Rêver de folies (pas Bergères) en sa compagnie, avoir envie de faire plein de choses à deux…

Hâte d’avoir la personne que l’on aime auprès de soi, que cela soit au bout d’une journée (le travail quotidien) ou de plusieurs jours/semaines (lorsqu’elle travaille plus loin). Ressentir le vide lorsqu’elle n’est pas là. Se rendre compte comme elle nous manque.

« L’amour est un bouquet de violettes » (bon faut-il aimer les violettes, les fleurs… Mais en théorie, une femme aime recevoir des fleurs (suis-je la seule exception à ne pas aimer les fleurs coupées? ))

En fait, l’amour est juste ce que vous en faites…

Tiens, je viens de regarder pour la première fois ce clip, et d’éntendre la chanson en dehors de son refrain…
Entre la mode (erk) la choré (ahem) et les paroles, nous avons un trio gagnant du mauvais goût… Ne me remercie pas, c’est cadeau!

 

Un petit pavé pour le rendez-vous du 10 du mois d’égalimèretheme année

4 commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *